Diableries
Aventures stéréoscopiques en enfer
Diableries.
Aventures stéréoscopiques en enfer
Exposition incroyable !!!
présentée lors du Festival Intégrales
Images à Gaillac 2022
« Diableries. Aventures
stéréoscopiques en enfer »
, venue de Suisse
œuvre de Philippe Dallais et Didier
Chatellard.
(Image en vision parallèle puis en vision croisée qui se regarde sans lunettes, juste en louchant et avec un peu de patience …)
Festival où l’on à aussi pu voir aussi le travail de Christian Gimel,
des films en 3D dont « Les Pyrénées par monts et merveilles », De Laurent Doldi.
Une exposition sur l’histoire des images autostéréoscopiques, et des conférences, dont une de Denis Pellerin, écrivain, historien, et conservateur du musée de Bryan May à Londres.
Avec la présence de nombreux membres du stéréo-club Français
pour en savoir plus:
Diableries, aventures stéréoscopiques en enfer
Les images 3D ne datent pas d’hier. La réalité augmentée non plus, comme le
démontre l’exposition Diableries, aventures stéréoscopiques en enfer, une exposition
multimédia avec 50 dioramas plus un diaporama en 3D, tirés des Diableries (1860-
1900) de la collection de Brian May,
Cette exposition de Philippe Dallais, ethnologue à Corcelles-Peseux Neuchâtel,
présentée en 2019 au NIFFF (Neuchâtel International Fanstastic Film Festival).
A cette occasion, Didier Chatellard, président du CSMN (Club Stéréoscopique des
Montagnes Neuchâteloises), a développé de nombreux autres objets infernaux, tels
que deux stéréoscopes de Wheatstone géants de 2x2m, une diablerie moderne et
des squelettes facétieux qui accompagnent le visiteur au long de l’exposition.
La série Diableries est composée de 182 saynètes, fabriquées et photographiées en stéréoscopie entre 1860 et 1900. En présentant la vie quotidienne aux Enfers, les artistes se moquaient des vivants de l’époque, et particulièrement des puissants, la figure de Satan renvoyant explicitement à Napoléon III. Pour chaque diorama, des figurines de terre étaient modelées et des décors entiers fabriqués. Une fois les images prises, tout était détruit ou presque (on gardait certains personnages). L’exposition présente plus de cinquante images commentées en grand format 60x60cm et 80x80cm, alors que les cartes originales stéréoscopiques mesurent 8.5 cm sur 17 cm, mais sans l’effet 3D.
Pour permettre de mieux s’immerger dans les dioramas, deux présentations sur TV3D dernière génération complètent l’exposition. Les nouveautés du CSMN s’insèrent parfaitement dans l’exposition initiale pour magnifier le caractère irrévérencieux (et stéréoscopique) des diableries.
a voir aussi
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http://www.integrale-images.com/
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https://www.ladepeche.fr/2022/07/05/gaillac-limage-stereoscopique-revele-tous-ses-mysteres-10416568.php
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